Mme Adriana LaGrange, de l’Alberta, a été élue vice-présidente de l’ACCEC et c’est un poste sur mesure pour elle.
Suite au décès de Tony Sykora en janvier dernier, l’ACCEC devait combler le vide laissé par le départ de ce grand passionné d’éducation catholique. Sykora, lui aussi de l’Alberta, jouait un rôle important sur l’échiquier éducatif catholique de cette province, tout comme le fait Mme LaGrange.
« Il est très à propos qu’Adriana accepte le poste de vice-président laissé vacant par le départ de Tony, » dit Julian Hanlon, directeur général de l’ACCEC.
Adriana LaGrange a d’abord été élue conseillère en 2007 pour le Red Deer Catholic Regional Schools, et elle a occupé le poste de présidente du conseil pendant trois ans, et celui de vice-présidente pendant deux ans. Elle est depuis longtemps impliquée en éducation catholique et dans sa communauté en tant que bénévole et membre de comités. Mariée depuis plus de 32 ans, elle vit actuellement près de Red Deer. Elle est mère de sept enfants et elle a trois petits-enfants. Elle possède un diplôme en Études des handicaps et réhabilitation, et en plus de la ferme familiale, elle gère aussi une entreprise de transport de porcs.
En novembre 2015, Adriana a été élue présidente de l’ Alberta Catholic Trustees’ Association (ACSTA), et son mandat a été renouvelé en 2016. C’est ce qui l’amène à représenter l’Alberta au conseil d’administration de l’ACCEC.
Son arrivée au poste de vice-présidente
Cet hiver, quelques uns de ses collègues directeurs à l’ACCEC lui ont demandé s’ils pouvaient proposer sa candidature au poste de vice-présidente de l’ACCEC.
« Bien que très honorée, je sentais que je devais réfléchir et demander conseil à Dieu, » explique-t-elle.
« Suite à cette démarche, j’ai accepté que mon nom soit proposé. Je me sens privilégiée d’être considérée pour servir l’ACCEC dans ce rôle. »
Elle confie être très intéressée de travailler avec l’ACCEC car pour elle, l’existence d’une organisation qui célèbre, promouvoit, préserve et améliore l’éducation catholique au Canada est importante.
« Il me semble que c’est le prolongement du travail que j’accomplis à Red Deer depuis dix ans dans mon rôle de conseillère scolaire et depuis deux ans en tant que présidente de l’ Alberta Catholic School Trustees’ Association, » dit-elle. « Je ferai de mon mieux pour aider l’ACCEC à continuer à bâtir cet héritage d’éducation catholique et à le garder solide pour les générations à venir. »
Elle ajoute qu’il st important d’avoir une voix nationale pour réagir à des enjeux pouvant affecter les droits constitutionnels de l’éducation catholique, qui se prennent souvent au niveau national ou fédéral.
« En tant que communauté de croyants, nous devons comprendre les défis particuliers et appuyer les réussites de l’éducation catholique dans chaque province ou territoire, » dit Adriana. « L’ACCEC fournit la structure qui favorise ce genre de partage ainsi que la capacité de défendre l’éducation catholique au niveau national. »
Adriana propose cette vision de son rôe de vice-présidente de l’ACCEC : « J’espère pouvoir renforcer la voix nationale de l’ACCEC par un plaidoyer proactif et un partage des accomplissements de l’éducation catholique avec tous les Canadiens et Canadiennes. »
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