En mars, Marino Gazzola, président de l’ACCEC, était l’un des 30 000 délégués qui se sont réunis à Los Angeles pour créer des liens, apprendre et célébrer l’éducation catholique dans le monde. Le Los Angeles Religious Education Congress ( RECongress ) est un évènement annuel qui « offre du développement professionnel et une formation spirituelle pour tous les intervenants en catéchèse et dans les ministères connexes, » dit Jan Pedroza, coordonnatrice du programme du congrès. Sous les auspices de l’Archidiocèse de Los Angeles, ce congrès catholique a évolué pour en venir à inclure une variété de confessions. M. Gazzola y participait pour la première fois, et ce fut pour lui une expérience incroyable.
« C’était sans contredit le meilleur congrès auquel j’aie participé, dit-il. C’était fantastique. L’expérience d’assister à la messe avec 10 000 personnes, c’était formidable. »
L’ACCEC avait entendu tant de bien sur ce congrès de la part d’éducateurs catholiques de l’Ouest canadien qu’il était impératif d’y envoyer un représentant. M. Gazzola a participé au congrès en son entier, du jeudi au dimanche.
« Il faut absolument que toute organisation catholique dépêche son président ou sa présidente à cet évènement, dit M. Gazzola, que ce soit seulement pour le réseautage et les contacts. »
Il y avait aussi plus de 300 ateliers d’offerts. M. Gazzola a assisté à huit d’entre eux, et il qualifie l’information qu’il a reçue « d’incroyable. »
Les ateliers auxquels il a participé portaient entre autres sur le marketing en éducation catholique, l’implication requise en éducation catholique, les courants de pensée de différentes organisations catholiques et la façon dont ils considèrent certains groupes – tels que les LGBTQ+ – et d’autres encore.
« J’ai tenté de choisir une variété d’ateliers et de conférenciers, dit M. Gazzola. L’un des ateliers était animé par un prêtre et une religieuse, un autre par un psychologue, et d’autres par différents spécialistes. Il s’agit de choisir les ateliers qui vous semblent les plus intéressants et pertinents. »
Pour lui, ce fut éducatif et inspirant de connaître l’expérience de l’éducation catholique aux États-Unis, où toutes les écoles sont soit privées, soit paroissiales.
« On entend parler de ce qu’ils doivent affronter pour conserver l’école catholique, ce que ça coûte, et on réalise combien nous avons de la chance ici en Ontario, dit-il. C’est inspirant de voir l’engagement et le dévouement dont ils font preuve pour préserver et promouvoir la valeur et l’importance de l’éducation catholique. »
M. Gazzola croit que l’ACCEC devrait continuer à l’avenir d’envoyer un représentant au RECongress.
« Je crois que notre présence à ce congrès est indispensable, » dit-il.
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